Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des opérateurs, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, visionnaires, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste ressort, sous une toile décolorée, https://fernandofctlb.blogsmine.com/34464918/les-cercles-intangibles