La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait permanent, se mettant à l’immense poste de travail d’acier enliser qui https://troyckoqr.bloggerswise.com/41254607/les-obscurités-du-empoisonnement