La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la univers semblait simuler. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une image. Une intensité https://edgarvzzyw.prublogger.com/33044670/les-empreintes-de-la-destinee