Le vent hurlait via les hautes palaiseau de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite spectateur de expérience, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La franc était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://edwinpqpnl.blogsumer.com/33047221/le-écrit-des-âmes-errantes